Dans notre club on se voit de temps en temps, environ une fois par semaine. Dans ces conditions, il vaut meiux se reconnaître, et se connaître, le plus rapidement possible entre adhérents.
Les visiteurs de notre site, qui envisagent d'intégrer notre club photo, ont sans doute envie de réaliser dans quel nid de castars ils vont mettre les pieds. Ils souhaitent peut-être aussi savoir si ils vont y trouver quelques gais compagnons partageant qui le même matériel, qui les mêmes passions photographiques.
Ce sont les objectifs du trombinoscope et de cette fiche individuelle. Cette dernière se compose de trois sections:
En espérant vous voir bientôt dans cette rubrique, si vous n'y êtes déjà, pour faire plus ample connaissance.
J’ai commencé et je fais depuis longtemps de la photographie pour illustrer et documenter les activités que je pratique. Il en est ainsi, par exemple, pour la spéléologie, ou la passion pour les chemins de fer. Dans la photographie, je me considère plus comme amateur assidu que comme un passionné
D’abord pour avoir des échanges avec d’autres photographes et pour apprendre des techniques surtout en numérique. Si j’ai consommé pas mal de films depuis mon adolescence, il me faut bien reconnaître que les pixels sont plus compliqués à maîtriser. D’autre part cela me permet de faire des types d’images, comme du studio, que je ne peux pas faire chez moi. Plus généralement j’aime bien la vie de club. Je me suis occupé d’associations dans mes activités précédentes.
Je participe à l’animation comme lors de ma présentation sur la spéléologie. Durant les ateliers, je supporte les nouveaux arrivants avec des petites discussions sur la technique ou d’autres sujets.
Je n’ai pas de pratique photographique réellement personnelle. Je photographie au coup de cœur, sans domaine privilégié (paysages, monuments, ouvrages d'art, fleurs etc). Cependant, peut-être un peu plus que les autres adhérents, j’aime faire des images documentaires. Par exemple des clichés sur le relief, les zones industrielles actuelles, ou bien celles du passée qui ont été préservées.
J’ai du matériel numérique Nikon. Je l’ai acheté d’occasion à un voisin. C’est donc par opportunité que j’ai choisi cette marque, et pas vraiment suite à une analyse poussée. Vu mes sujets photographiques du moment, les zooms standard me suffisent. Mais, comme j’ai envie de me lancer dans la photographie animalière (oiseaux ou isards des Pyrénées par exemple), j’envisage d’acquérir une (très) longue focale.
Comme beaucoup de ma génération j’ai commencé dès 10 ans avec un boîtier populaire, un Kodack Brownie Flash. Ensuite j’ai eu un appareil de qualité, un Agfa Silette. Mon premier reflex argentique était un Miranda Sensorex. J’appréciais beaucoup son prisme amovible qui, me permettait de viser par le dessus, très utile en spéléologie notamment. Miranda est une marque japonaise, aujourd’hui disparue, dont les produits étaient économiques, lourds, et très solides. Je l’ai toujours avec son lot d’objectifs fixes Soligor. Bien qu’il m’ait accompagné sur quelques volcans, et beaucoup sous terre, il fonctionne encore, et je compte sur lui pour exposer quelques films N&B dans le cadre du club.
Je continue de photographier la spéléologie et les trains, car la mécanique de la traction à vapeur me passionne. Mes autres sujets favoris sont les paysages et les monuments. Dans l’avenir j’aimerais me tourner plus vers les personnages, le portrait et également de l’animalier.
Avant de venir au club je connaissais quelques grands noms de la photographie tels que : Salgado, Clergue, Capa et Doisneau. Incidemment, ce dernier a aussi fait, en profane, des photographies de trains. Mais c’est au sein de l’association que je découvre leurs œuvres en détail.
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